Les femmes investissent les métiers de responsabilité


Une femme prend la tête d’IBM cf « les 2chos » du 27 oct 2011///Les femmes investissent les métiers à responsabilité
Les femmes accèdent davantage aux postes les plus qualifiés, si l’on se réfère à l’étude de l’Insee sur l’évolution des professions entre 1999 et 2007.
L’étude note que les femmes occupent un emploi dans une proportion supérieure à 58% dans la tranche d’âge de 15 à 64 ans, et dans cette large décennie l’augmentation est observée dans tous les métiers ; au-delà des métiers « dits féminins » : tels que puéricultrice, assistantes maternelles etc..
Depuis 1999 c’est parmi les professions libérales, les cadres et  les professions intermédiaires, hors santé et enseignement que leur présence progresse plus vite.
L’étude indique : plus diplômées, elles exercent plus souvent des métiers à responsabilité, le ratio ayant progressé de 3 points. La part des cadres et des professions intermédiaires croît également, pour  représenter quasi 25% du total de l’emploi.
 La même étude note une forte percée à la tête de l’administration publique et à la tête des grandes entreprises. La part des femmes dans les cadres d’état major ayant doublé en 6 ans pour atteindre 30%.

Quelle sera la place des femmes dans le processus démocratique des pays musulmans?

Changement


CHANGEMENT DE PARADIGME
(Arrêtons de vouloir changer)
Mme X, vous, moi…. souhaitons changer le cours des évènements, souhaitons changer  nos élus, notre patron, nos enfants, notre conjoint, la politique internationale, les médias, nos voisins….
Mme X  essaye de changer son conjoint s’il boit, joue l’argent du ménage aux courses ou bien s’il la traite mal.
Au mieux se rend-elle chez son psychiatre pour tenter de se changer
Si son raisonnement était libre, il lui aurait permis de voir que ce qu’elle fait ne marche pas, cf. Paul Watzlawick* : « encore un peu plus de la même chose », et cela lui aurait permis d’accéder à d’autres possibilités.
Or un être vivant est le résultat d’essais, dont certains fonctionnent et d’autres non, d’essais qui ont marché et des « résidus » de ce qui ne marche plus. C’est ainsi qu’il nous reste un coccyx  et qu’il ne reste plus de queue.
De cela nous constatons que le vivant fonctionne par ajouts puis abandons successifs, ici station debout puis abandon de l’appendice caudal. Le vivant ne fonctionne pas par abandon puis ajouts.
Il faut bien noter : Ajout puis Abandon.
La nature ne s’oppose pas, elle crée. Ce qui est crée prend la place, alors il se développe, se maintient, et empiète sur le domaine d’une structure vivante préexistante. Si cette dernière est utile, elle coexiste, sinon faute d’être utilisée elle s’atrophie puis disparait.
Retenons : d’abord création puis empiètement et alors soit coexistence, soit atrophie.
La nature tient le raisonnement suivant : si quelque chose a eu sa place, elle le considère comme un élément vital et le conserve jusqu’à son remplacement. Et ce qui est vrai des organismes se vérifie aussi dans les actes. La caractéristique du vidant est l’action, tout mouvement qui a eu lieu est encore vivant, dans la mesure où celui qui l’a acté est encore vivant, ne peut être empêché. Cela reviendrait à porter atteinte à la vie. La nature s’y oppose.
Ce constat signifie que vouloir changer en essayant de ne plus faire ce qui est fait est voué à l’échec.
De plus le cerveau ne connait pas la négation : ex : si je vous dis ne pensez pas à la tour Eiffel, il se passe quoi ?
Et maintenant : "qu’est qu’on fait ?"
La nature montre que la seule solution à notre disposition est de développer quelque chose qui prendra la place de ce qui dérange (faire du sport supprime l' envie de fumer).
Autrement dit, quand une habitude dérange, foin des jugements, rien ne sert de vouloir l’empêcher.
la "leçon" du jour: le Remplacer
Ce que vise le jugement n’est pas ce qui a été fait mais le contexte dans lequel cela a été fait.
S’il un autre contexte se dessine, Il y a lieu d’en cultiver nouvelle habitude.
Et comment faire si le raisonnement se trouve piégé, voire complice de l’émotion ?
Mme X souhaite arrêter sa souffrance, elle veut en finir, non plus de la situation mais de sa peur à gérer ce qu’elle a gérer. Sa conscience réflexive cherche à s’opposer à sa peur.
Et la peur doit être accueillie !!!! La prendre en charge  c'est-à-dire arrêter de subir et devenir acteur de sa vie : ACTEUR DE SA VIE
La nature ne s’oppose pas elle compose, si Mme X cherche à se changer elle s’oppose à ses émotions, et se met en échec. Il lui faut traverses ses émotions et passer au-delà.
En pratique : recenser ses émotions et les événements associés petits et grands, reconstruire les instants mémorisés revient à en désamorcer la charge émotionnelle (date et contexte) cf. la méthode de « the work »
Alors le raisonnement peut reprendre son cours et adopter une logique créative.
Je vous invite également à prendre acte de ce que rapporte
 Habitude numéro 1  mise en lumière par Victor Frankl : être proactif.
 En tant qu’être humain nous sommes responsables de nos vies ; notre comportement découle de nos décisions et non de notre condition. Nous avons la responsabilité (étymologiquement  être capable de réponse) et l’initiative de provoquer les « choses ». Les réactifs quant à eux autorisent les autres à gouverner leur vie.
Les proactifs se dirigent en fonction des valeurs sur lesquelles ils ont réfléchi et qu’ils ont sélectionnées.
Prendre l’initiative revient à choisir notre réponse à des circonstances particulières et d’autre part à amener d’autres circonstances favorables, ex Mme X est envahie par ses préoccupations, elle a mieux à déployer son énergie sur son domaine d’influence, elle induit une énergie positive qui de surcroit a des effets démultiplicateur.
Le développement de notre volonté dans son application quotidienne se mesure par l’intégrité de notre caractère. Elle représente notre estime de soi, c.a. dire notre capacité à exprimer des engagements envers nous même et à nous y tenir, à joindre le geste à la parole (c’est notre honneur intérieur.

*PW : Changements paradoxes et psychothérapie
In Paul Henri Pion
Stephen R. Covey : auteur de «  les 7 habitudes de ceux qui réussissent tout ce qu’ils entreprennent »

Living Global


Living global

Les Français sont-ils des globe-trotteurs ?
Ils sont 1,5 millions à être inscrits au registre mondial des français établis hors de France. Ils partent pour travailler, ils partent à l’aventure ou rejoindre leur conjoint, et ils sont nombreux.
Par exemple ils sont plus de 100 000 au pays de l’ »american way of live », et leur nombre augmente chaque année de 2 à 3 %. En outre ces données ne prennent-elles en compte que les personnes qui se sont déclarées et inscrites.
Dans la tradition le rayonnement de la France à l’international repose sur une longue histoire et de nobles aspirations. Les entreprises françaises et leurs collaborateurs, acteurs de cette ambition, véhiculent fierté et prospérité pour notre pays.
De nos jours qu’en est-il ?
Certaines des difficultés rencontrées par les entreprises à l’étranger sont dues à une méconnaissance des cultures en présence. La mondialisation et internet accentuent ce phénomène ; dès lors que tout donne l’apparence d’être proche.
Une entreprise fondée en 2003 s’est créée sur ce besoin : elle propose formations, et conseils en management basés sur l’interculturel.  Car il devient indispensable d’identifier et de connaitre, puis s’adapter aux différents systèmes culturels afin de modifier son comportement, sa communication, son style de négociation, et de management afin de gagner en efficacité personnelle et professionnelle.

« Thinking  «  et « living «  global nécessitent d’élargir sa culture, de revoir ses connaissances et adapter ses compétences.

et si les femmes ..... suite


 et si les femmes… la suite
Le cap  est franchi !  Les entreprises du Cac 40 ont passé la barre des 20% de femmes dans leur conseil d’administration,  estime le baromètre DiaforaboardWomenPartners de 2011. Il compte en moyenne trois femmes dans ce conseil.
Le chiffre est encourageant, l’an dernier nous affichions 14% d’administratrices.
Il convient d’apporter un élément de modération car la moyenne des sociétés du SBF120 reste à 16% quant à elles.
Ces sociétés ont puisé dans un vivier de femmes déjà « visibles »
Un des derniers exemples de femmes visibles, Christelle Martin DRH de GDF SUEZ  (220 000 salariés) dans le monde sur 70 pays, elle intègre le comex de GDF.
Dans la même logique de ce que je vous livrais récemment je vous offre sa citation : « je parle souvent de capital humain. Ce n’est pas un réflexe de financier. Cela signifie que je crois à l’investissement chez les hommes dans la durée afin de développer leurs compétences dans le cadre stratégique de l’entreprise. »
Dans une étude dirigée par la Cegos , étude sous l’appellation « à quoi rêvent nos cadres dirigeants », Il  ressort  qu’à plus de 50% le plus difficile réside dans la conciliation entre la vie professionnelle et la vie privée.
                et si les femmes étaient rompues à l’exercice !!!!

et si les femmes ….cf « les échos du 29/09 in le billet de Favilla
A Istanbul, dans le but de sanctionner les supporters et les membres d’une équipe locale qui s’étaient mal conduits pendant et après un match, les autorités ont décidé que lors du match suivant, que  les individus de sexe masculin -hormis les 22 joueurs- seraient interdits de match.
Cette rencontre s’est déroulée sans le moindre incident dans un stade archi comble composé de 40 000 femmes.
Selon cet exemple, à l’assemblée nationale, à la place d’hommes qui argumentent avec des bras d’honneur- beau spectacle de ceux à qui nous avons confié le sort de la nation- on augmentait la représentativité des femmes….
Et si, à la télévision à la place de grossièretés et vulgarités échangées par les hommes, les débats étaient conduits par des femmes…
Et si, dans les grands hôtels les VIP étaient des femmes…
Et si les stagiaires étaient des hommes…
On baignerait dans un monde de séduction plutôt que dans un monde de brute;

On gagnerait en qualité et pour le moins en élégance.